Je n'ai aucune
objectivité en ce qui concerne les papes :
quand l'Esprit Saint
en choisit un nouveau,
il peut se prévaloir
instantanément de mon amour inconditionnel.
Ensuite, quand le pape
parle, j'écoute ce qu'il dit mais je ne le commente jamais :
ce que dit un pape ne
se critique pas, ça se reçoit.
Et si, d'aventure, je
ne suis pas d'accord avec lui sur tel ou tel point,
alors je me remets en
question et je revois ma position sur le sujet.
Ce n'est pas du
fanatisme aveugle : ça s'appelle juste de la confiance filiale.
Pas une confiance en
un homme, mais en Dieu, qui l'a choisi et qui l'assume,
Lui qui est "avec
nous jusqu'à la fin des temps".