Quand Dieu va me
demander "est-ce que tu m'aimes?",
le jour où j'aurai
cassé ma pipe,
je vais lui répondre
"oui", bien sûr : je ne suis pas fou,
et je connais le mot
de passe qui permet d'entrer au paradis.
Mais quand on va
vérifier ensemble si c'est vrai,
si chaque jour de ma
vie j'aurai choisi de l'aimer par-dessus tout
et mon prochain comme
moi-même,
il sera vite évident
qu'en réalité mon amour sera bien trop court.
C'est pour ça que les
défunts ont besoin de notre prière et de notre intercession.