Quand on se rend
compte qu'on fait des drames pour des broutilles,
et qu'on prend des
verres d'eau pour des tempêtes tropicales,
c'est le signe sans
équivoque qu'il est temps de prendre l'air :
partir, parfois seul,
parfois loin, aussi longtemps que nécessaire,
changer, de ville, de
pays, d'entourage, de hobby, voire de métier,
enfin bref prendre autant
de hauteur qu'il le faut
en fonction de la
gravité de la crise que l'on traverse
pour remettre les broutilles
à leur juste place
et être de nouveau
capable de voir les choses telles qu'elles sont véritablement.
Bon, la plupart du
temps, quelques jours de vacance suffisent, en fait...