Il vaut mieux être aimé
pour ce que l'on est que pour ce que l'on n'est pas.
Ce n'est pas si évident que
ça en a l'air, surtout quand on ne s'aime tel que l'on est,
et pourtant, ce que l'on
est est nécessaire au monde, tel quel, sans le grimer,
sinon Dieu ne nous aurait
pas fait comme ça.
Et si Dieu m'aime tel que
je suis, qui suis-je, moi, pour me détester?