Ah, qu'il est difficile
d'accepter d'aimer son prochain comme soi-même !
Si on s'efforçait de faire
de ce commandement notre priorité absolue,
on n'aurait plus besoin
d'inventer plein d'autres moyens de plaire à Dieu,
qu'il ne nous a pas
demandés et dont il n'a que faire.
Mais on préfère lui offrir
toutes sortes de babioles
(jeûner, se mortifier,
faire des sacrifices, rabâcher des prières interminables, etc etc...)
plutôt que de donner notre
vie pour ceux qu'on aime, chaque jour,
en commençant par ceux dont
on a la responsabilité ou qui nous sont le plus proches.