On n'a pas le droit de
décider à la place des gens
qui ils ont le droit
d'aimer ou pas, qui ils doivent aimer ou pas.
Ce choix-là, c'est la
seule chose qui nous appartienne en propre.
Dieu lui-même le respecte,
parce qu'il sait bien, Lui,
que seul l'amour
librement choisi et consenti a de la valeur.
En revanche, nul n'a
le droit d'imposer à tous l'approbation de son choix
et de condamner avec
intransigeance toute personne qui ne le partagerait pas :
ce n'est que quand
elles sont mutuelles que la liberté et la tolérance sont possibles.