L'être humain ne porte
pas la pleine responsabilité du mal qu'il commet,
parce que c'est un mal
qui nous dépasse et qui n'est pas nous :
l'humanité n'est pas,
en tant que telle, corrompue, mais elle est corruptible.
Nous portons cependant
la responsabilité de notre compromission avec ce mal,
parce qu'on accepte de
l'héberger et d'écouter ses suggestions,
qu'on se range souvent
à ses arguments et qu'on agit contre notre conscience.
Il détruit alors celui
qui le commet autant que ceux envers qui il est dirigé,
comme une épée à deux
tranchants.
La seule solution pour
lutter efficacement contre lui
est d'écouter les
suggestions et les arguments de notre conscience,
ainsi que de Dieu qui
ne cesse de chercher à l'éclairer,
si nous l'acceptons
dans notre vie
et que nous agissons selon ses commandements.