Jésus soupire, du plus
profond de son coeur, devant le manque de foi des pharisiens.
Je connais bien ce
soupir, je pense qu'il n'y a pas un prêtre qui ne le connaisse pas.
C'est qu'il y a bien
de quoi soupirer, quand on connait le chemin qui mène à Dieu,
que l'on consacre sa
vie à accompagner ceux qui veulent y aller,
comme feraient des
guides de haute-montagne
qui permettent à tout
un chacun d'aller vers le ciel en sécurité,
et que ça n'intéresse qu'une
poignée de gens
parmi ceux qui sont
censés être son peuple.