Dieu, contrairement à
une idée reçue, n'impose jamais rien, mais il invite.
Il ne juge pas
durement, mais il accepte les demandes de pardon sincères.
Il n'empêche rien, il
nous dit juste ce qui va nous nuire
et qu'on devrait
éviter dans notre propre intérêt.
Chacun est libre de le
suivre ou pas, et il respecte ce choix, quel qu'il soit.
Est-ce que ça veut
dire qu'on peut donc faire n'importe quoi sans aucune conséquence,
que tout se vaut,
qu'on ira tous au paradis quoi qu'on fasse,
que le relativisme le
plus débridé a pris le pas sur la doctrine de la foi ?
Bien sûr que non.
Parce que si on est
libre de suivre ou pas le chemin qu'il nous montre,
que Jésus a suivi
lui-même jusqu'à la mort sur la croix,
donnant sa vie par
amour de l'humanité,
seul ce chemin mène à
lui, à la vie éternelle et à la résurrection :
la preuve en est que
Dieu a ressuscité Jésus, premier-né d'entre les morts.
On peut choisir de ne
pas le suivre, il ne nous en empêche pas, on est libres.
Mais dans ce cas, on
n'arrivera pas là où son chemin nous mène, c'est une évidence.
Si je rejette Dieu et
ses propositions tout au long de ma vie,
il ne faudra pas être
étonné de ne pas les obtenir après ma mort.