Jésus ne s'est jamais
énervé contre les pécheurs,
mais souvent contre
les "hommes de Dieu",
du moins ceux qui ne
vivaient pas ce qu'ils prêchaient,
qui détournaient la
parole de Dieu à leur profit
ou qui se
remplissaient les poches en profitant de la foi du peuple.
Du coup, ils ont
décidé sa perte.
Le pape François n'a
jamais fustigé les pécheurs,
mais souvent les
hommes de Dieu,
du moins ceux qui
agissent de la même façon que les ennemis du Christ.
À même action, même
réaction :
rien d'étonnant à ce
qu'ils veuillent se débarasser de lui,
comme leurs pères
avant eux l'ont fait avec Jésus.