Sans doute parce que
j'ai toujours aimé passionnément la liturgie,
je n'ai jamais compris
qu'on puisse être chrétien sans que ça puisse être le cas.
Traiter Dieu caché
dans le sacrement du mieux qu'on peut,
être serviteur de la
seule forme de présence réelle sur terre
qui soit la sienne
jusqu'à son retour,
s'oublier pour ne
penser qu'à Lui quand on célèbre quelque chose à l'église,
être à la dernière
place comme le serviteur attentif
au moindre signe de main
de son maître...
Quoi de plus beau, de
plus noble, de plus utile, de plus près du paradis que ça ?