On le sait avec internet : une amitié purement virtuelle,
d'une personne qu'on ne rencontre jamais, tôt ou tard, dans la vraie vie,
ça finit toujours par s'estomper puis par ne rester qu'un souvenir.
Avec Dieu, on court le même risque : après tout, on ne le voit pas,
on ne peut pas le toucher, le prendre dans ses bras ou boire un coup en blaguant.
Du coup, si on ne se met pas, tôt ou tard, à le fréquenter régulièrement et souvent à la messe,
l'amour de Dieu s'estompe, petit à petit, puis finit par disparaitre sans même qu'on s'en rende compte.