Le diable a obtenu au cours du XXème siècle jusqu'à aujourd'hui quelques exploits notables.
Il a réussi à se faire oublier, au point de persuader bon nombre de croyants qu'il n'existe pas.
Il a aussi réussi à faire croire que le vrai problème ce n'est pas lui mais les religions,
auxquelles il a attribué tous les défauts qui le concernent.
La corruption bien réelle d'un faible pourcentage du clergé a permis d'amplifier cette impression.
C'est bien vu. Non seulement il n'est plus craint,
mais il a fait craindre par le peuple les personnes qui le combattent le plus âprement.