Je ne sais pas si c'est mon
cerveau ou mon coeur que l'âge ramollit le plus,
mais plus les années
passent, plus j'aime retrouver, de temps en temps,
lors de rencontres
fraternelles, les autres prêtres de mon diocèse,
et prendre des nouvelles
des uns et des autres,
en dépit de mon agoraphobie
et de ma détestation de tout ce qui est clérical.