Ce qui se passe dans la tête des prêtres... ou au moins dans celle de l'un d'entre eux.
L'idolâtrie est toujours décevante, en fin de comptes.
Adorer qui que ce soit d'autre que Dieu,
c'est s'assurer d'être profondément dépité, tôt ou tard,
à la mesure de ce que l'on aura été séduit au départ.