Le roi David a voulu
recenser le peuple pour connaître sa force et sa gloire,
comme si le peuple lui
appartenait, comme s'il était Dieu.
C'est ça, son péché
dans cette affaire :
d'avoir oublié qu'il
n'était que l'administrateur du peuple de Dieu,
et non son
propriétaire.
Gardons-nous bien d'en
faire autant, surtout quand on est prêtre ou évêque :
nous ne sommes pas les
propriétaires du peuple de Dieu,
il ne nous appartient
pas,
et tous les chiffres
et les statistiques le concernant n'ont pas lieu d'être.