Alors, quand je serai mort,
il y a un point auquel je tiens absolument :
qu'on n'oublie pas de me
faire sortir de l'église la tête la première.
La vie sacerdotale a peu de
privilèges. C'en est un. J'y tiens.
Un prêtre qui rentrerait au
paradis les pieds devant, ça fait désordre.
Eh puis moi, ce ne sont pas
les pieds du petit Jésus que j'embrasse,
chaque matin, quand je me réveille : c'est
son visage.
Je veux qu'il puisse faire
pareil avec moi.