Saint Ignace de Loyola
nous montre, dans "Les gloires de Marie",
à quel point ceux qui
aiment la mère du Christ
ne sont jamais, en
dépit de tous leurs péchés,
éloignés totalement de
Dieu.
De nombreux pères de
l'Eglise disent la même chose,
et j'ai souvent pu le
constater moi-même
chez des personnes qui
n'ont pourtant rien de "piliers d'église".
Ce n'est pas de
l'idôlatrie, c'est juste une histoire de famille :
qui, aimant la mère de
Dieu, peut détester son fils ?
L'amour de Marie
conduit à l'amour du Christ, tôt ou tard,
comme le "je vous
salue Marie" conduit au "notre père" dans le rosaire.