Savoir faire, c'est une chose.
Pouvoir faire, aussi.
Faire, c'en est une autre.
C'est souvent ça, pour les "croyants non pratiquants" :
ils savent parfaitement ce qu'ils devraient faire ;
la plupart du temps, ils pourraient le faire, d'ailleurs.
Mais comme ils ne le font pas,
leurs connaissances et leurs possibilités ne servent à rien,
en tout cas pas à les mener vers Dieu pour y demeurer éternellement.