C'est une bonne chose
qu'on ne connaisse pas toujours les gens qu'on enterre :
si on les connaissait,
on manquerait sans doute parfois de bienveillance.
C'est ce que je me dis
chaque fois que la famille du défunt est, visiblement,
autant à l'aise dans
une église qu'une méduse sur un cactus.