Je serai bien content quand
je serai au paradis,
là où on aura le droit
d'aimer les gens sans que ça soit mal interprété,
sans que ça fasse jaser ou
que ça cause des jalousies ou des calomnies,
sans peurs, sans
équivoques, tentations, mensonges ou incompréhensions,
sans limites de temps,
d'espace, ou de risque de perdre ceux qu'on aime.
Sans rejets, sans
méchancetés en retour, sans racismes, sans jugements, sans mépris.
Eh puis là, on n'aura rien
de plus important à faire que de s'aimer.
Ça tombe bien, il n'y a
rien que j'aie jamais trouvé de plus intéressant à faire que ça.