Couv

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Paradis, enfer, purgatoire... des réponses claires.

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aléatoire

dimanche 31 décembre 2023

Sans gratuité, il n'y a pas d'évangélisation qui vaille. 

L'amour est gratuit. Il ne s'oblige pas, ne se compte pas, ne remplit pas des tableaux comptables.

Vouloir à tout prix rendre des comptes mathématiques d'un travail d'évangélisation, 

c'est le vider de toute substance avant même qu'il n'aie commencé.

Il faut laisser à l'arbre le temps nécessaire à produire ses fruits. 

C'est aux fruits, qui viendront quand bon leur semblera, 

et non au pedigree de l'arbre ou à la qualité et la quantité d'engrais,

que l'on verra si le travail a été bien ou mal fait, à la génération suivante.

samedi 30 décembre 2023

Le christianisme ne peut pas se transmettre uniquement par les réseaux sociaux, 

par des livres, des conférences, ou toute autre simple formation. 

En réalité, il se transmet de personne à personne, 

car ce n'est pas simplement un enseignement, c'est un échange

où chacun reçoit et donne quelque chose à l'autre.

On ne peut en effet pas enseigner l'amour de Dieu et du prochain sans le vivre entre nous.

vendredi 29 décembre 2023

La bonne volonté, 

quand elle n'est pas alliée à une solide connaissance 

et à une solide obéissance à la volonté de Dieu, 

est strictement incapable de mener qui que ce soit à son Royaume.

jeudi 28 décembre 2023

Nous n'avons pas conscience de la malice et du drame du péché. Parfois, nous parlons même de "péché mignon". Pourtant, aujourd'hui, en la fête des Saints Innocents, nous voyons les conséquences du péché. Quel niveau de méchanceté insensé faut-il atteindre pour éliminer ainsi des nourrissons et de petits enfants ? Oh, ce n'est pas que nous ne soyons pas habitués, hélas, nous qui vivons dans une civilisation qui n'attend même pas que les bébés soient nés pour s'en débarrasser. Mais ça n'enlève rien à la cruauté abominable de la situation dont nous sommes aujourd'hui les témoins consternés. C'est tout à fait curieux, Noël est une fête si douce, si belle, si paisible, et pourtant, les jours suivants, nous ne voyons que des martyrs et des morts violentes. "Où est Dieu ?", diront ceux qui refusent de croire en lui. Il est là, au milieu de nous, dans son berceau. Il est venu partager les conséquences d'un péché qu'il serait bien incapable de commettre, lui qui n'est qu'Amour. Mais il veut tellement notre bien qu'il est prêt à se charger de nos péchés, et nous savons où ça le mènera. Pour l'instant, le pauvre, il est dans les bras de sa mère et il apprend patiemment à devenir humain. Je comprends le désarroi des Pharisiens, des scribes et des docteurs de la Loi, qui attendaient tous un messie triomphant et vainqueur, qui ne ferait qu'une bouchée de tous leurs ennemis. Au lieu de ça, nous avons un bébé sur les bras, dont il faut sauver la vie parce qu'à peine né, il est déjà menacé de mort. D'une certaine façon, Dieu nous laisse pour une fois prendre sa place : c'est à nous de prendre soin de lui comme lui prend soin de nous depuis la création. Accueillons ce petit enfant dans notre cœur. Laissons-le nous convertir petit à petit, et pendant qu'il apprend à être un homme, nous enseigner à recevoir Dieu en nous. La lutte contre le péché n'est pas quelque chose de grandiloquent ni de visible. Ça se passe au fond du cœur de chacun, ça s'incarne dans chacune de nos décisions, bonnes ou mauvaises. Laissons-nous guider par le Christ. Il est venu pour que nous puissions imiter la façon dont il a vécu. Acceptons de nous laisser aider comme lui-même s'est laissé sauver par ses parents du tyran Hérode.

mercredi 27 décembre 2023

La confession n'est pas un distributeur automatique de pardon. 

Pour obtenir le pardon, le pécheur doit être repentant, 

rejeter les péchés qu'il a commis 

et s'engager fermement à s'efforcer à ne plus pécher à l'avenir,

voire à changer de vie si son mode de vie est intrinsèquement peccamineux.

Il doit aussi exprimer de la contrition, c'est-à-dire la peine d'avoir offensé Dieu.

Enfin, il devra ensuite s'efforcer de réparer le mal qu'il a commis d'une façon ou d'une autre.

On est très loin d'un blanc-seing qui nous donnerait une autorisation détournée de pécher 

en considérant que tout ce qu'on a fait n'a pas d'importance, 

et qu'on peut continuer comme avant, sans se préoccuper de rien.

La confession n'est pas un lieu où l'on obligerait Dieu à trouver bon notre péché, 

et où il nous dirait que ce n'est pas grave parce qu'il pardonne n'importe quoi, 

même quand on n'a aucune crainte de Lui ni de son jugement,

et que l'on méprise ouvertement sa Parole et ses Commandements.

mardi 26 décembre 2023

Il y avait des faux prophètes dans l'Ancien Testament, 

dont le travail consistait à faire des prophéties au nom de leurs faux dieux 

qui aillent dans le sens de la volonté personnelle de leurs maîtres royaux.

Il faut relire le chapitre 18 du 1er Livre des Rois.

On y voit la différence entre les prophètes des baals et le prophète Elie, 

et aussi qui finit inévitablement par être vainqueur à la fin.

lundi 25 décembre 2023

Jésus est le seul et unique Sauveur que nous devions attendre, il n'y en a pas d'autre. 

Alors l'adorer dans son berceau et lui prêter allégeance : il est notre seul maître.

dimanche 24 décembre 2023

La théologie catholique est claire : bénir au nom de Dieu une situation de péché 

sans la moindre recherche d'amendement ou de conversion,

c'est un acte à la fois sacrilège et blasphématoire. 

Quand Jésus pardonne à la femme adultère, il lui dit : "va, et désormais ne pèche plus".

Ce n'est pas la situation peccamineuse qu'il bénit, mais la personne qui cherche à en sortir.

Reste à voir maintenant qui cherchera à obéir à Dieu, 

et qui cherchera à plaire aux hommes.

samedi 23 décembre 2023

Ce n'est pas parce que quelqu'un "révèle" quelque chose que ce qu'il dit est vrai.

vendredi 22 décembre 2023

Du moment que l'on cherche à imposer quelque chose par la force au nom de Dieu, 

on peut avoir la certitude que l'on n'est pas fidèle à sa volonté. 

Dieu respecte  notre libre arbitre. Il l'a toujours fait. 

C'est d'ailleurs la raison pour laquelle nous pouvons nous damner même s'il ne le veut pas.

Alors, chercher à tordre la volonté de qui que ce soit en son nom, 

c'est sans le moindre doute nécessairement et toujours un abus.

Dieu propose de nous donner tout, mais ne nous impose pas de rien accepter.

jeudi 21 décembre 2023

Quand le magistère actuel nous semble contraire à la Foi chrétienne,

Il faut se référer à ce que disent la Bible et la Tradition Chrétienne.

Le magistère est censé n'être que l'actualisation de ces connaissances, 

et non pas une réécriture à nouveaux frais 

pour mettre la foi en adéquation avec les modes de notre temps.

Le seul qui ait jamais été légitime pour dire : 

"on vous a enseigné telle chose, et bien moi je vous dit autre chose", 

c'est Jésus-Christ et personne d'autre.

mercredi 20 décembre 2023

Être chrétien, ce n'est pas avoir des valeurs ou des traditions, comme si c'étaient des fins en soi. 

Être chrétien, c'est connaître le Christ, aimer le Christ, obéir aux enseignements du Christ.

Les principes que nous suivons viennent du Christ, et n'ont de valeur que pour cette raison.

Si on les "débranche" de leur origine et de leur raison d'être, 

alors notre religion n'est plus qu'une coquille vide

qui a l'apparence du christianisme, mais qui n'en est pas.

mardi 19 décembre 2023

Pensons nous, quand nous sommes confrontés à la souffrance, 

à blâmer le péché qui est à l'origine de la mort 

et de tout ce qui nous fait souffrir avant ou après elle ?

Nous devrions, parce que c'est bien à lui que nous devons tous les malheurs du monde, 

qu'il s'agisse de notre péché personnel ou de celui des autres. 

lundi 18 décembre 2023

Ce qu'il y a de bien, quand on a un accident ou une maladie, c'est qu'au lieu de se plaindre, 

on peut l'offrir en réparation de nos péchés, et remettre ainsi le compte de notre purgatoire à zéro.

dimanche 17 décembre 2023

Tiens, j'ai entendu quelque chose qui m'a paru fort sage : 

gagner un argument logique contre quelqu'un d'intelligent, c'est difficile ; 

mais gagner un argument logique contre quelqu'un qui est idiot, c'est impossible. 

samedi 16 décembre 2023

Le voyage dans le temps en direction du passé n'est pas pour demain.

On a l'impression que pour voyager dans le passé, 

il suffit de voyager dans une dimension, mais c'est faux. 

En réalité, la terre, comme toute notre galaxie, suit une course effrénée dans l'espace, 

et n'est donc jamais au même endroit d'une année sur l'autre ni même d'un instant à l'autre.

Du coup, pour voyager dans le passé, 

il faudrait voyager non pas dans une dimension mais dans quatre, 

et à contre-courant de l'expansion de l'univers, en plus.

Encore une fois, ça ne risque pas d'arriver. 

vendredi 15 décembre 2023

          Il y a une vieille idée de l'humanité dont on ne parle quasiment jamais, et qui fait pourtant un dommage considérable dans tous les domaines de la pensée, qu'il s'agisse de la philosophie, de la religion voire de la politique, il s'agit de la gnose. Cette idée et panthéiste : elle considère qu'il n'y a pas de distance entre un éventuel créateur et la création, comme on le croit en se basant sur les Saintes Écritures, et en particulier le livre de la Genèse, mais elle pense que tout ce qui existe est constitué de petites parties divines perdues dans la matière. Elle considère cette dispersion divine comme quelque chose de négatif, et n'a de cesse de vouloir libérer un soi-disant esprit de tout ce qui est matériel. À partir de là, cette idée sortie on ne sait d'où mais très ancienne s'accroche à la pensée humaine comme le lierre s'accroche à un arbre. On en retrouve des bribes dans la religion : le jansénisme, par exemple, qui considère la sexualité comme le pire péché au monde, contient de la gnose. Ne tenant aucun compte du fait que le tout premier commandement de Dieu a été de croître et de se multiplier, ce que l'on n'obtient pas en jouant au scrabble, cette déformation du christianisme tient la sexualité pour responsable de tous les maux de la terre. Elle recherche une pureté illusoire censée l'amener à sa perfection, au point d'être confondue avec la sainteté. Dans le même domaine, on retrouve de la gnose dans le malthusianisme, cette idée que la sexualité reproductive est quelque chose de mauvais et qu'il faut l'empêcher ou au moins la maîtriser de façon coercitive si nécessaire, afin de réduire drastiquement le nombre d'êtres humains sur terre. On voit là que l'existence que nous a donné Dieu est subitement considérée comme quelque chose de néfaste, voire de contraire aux règles de la nature, ce qui est une idée beaucoup plus inspirée de la gnose que de quoi que ce soit d'autre. On retrouve aussi la gnose dans des courants "spirituels", qui pensent que l'univers est une grande énergie à laquelle nous participons tous, et que partant de là, la vie d'une fourmi a la même importance que celle de n'importe quel être humain, ne tenant aucun compte, là encore, du livre de la Genèse où Dieu donne l'ordre à l'humanité de dominer la terre et de la soumettre. On en retrouve donc des bouts dans le bouddhisme, en particulier le bouddhisme tibétain, mais aussi  dans les partis politiques animalistes ou antispécistes. Ça permet aussi de nourrir, bien évidemment, tout ce qui provient plus ou moins du New-Âge : l'énergie des cristaux, la nature qui soigne en regardant le soleil dans les yeux (sic), le fait de pouvoir se nourrir avec de l'énergie qui se promène librement dans l'air ou l'ouverture des chakras qui permet à l'énergie de nous faire fonctionner normalement et de ne faire qu'un avec le grand tout, etc... On voit là encore le manque de distance criant entre Dieu d'une part et sa création d'autre part. Bien évidemment, tous les panthéismes ont plus ou moins cette idée fausse que des éléments de la création sont, en quelque sorte, Dieu eux-mêmes : adoration du soleil, de la nature, de la Pachamama ou de Gaia, la Terre Mère, etc...

            Il faut que quelque chose soit bien clair : la gnose est strictement incompatible avec la Révélation Divine qui nous vient des Saintes Écritures. Elle est donc strictement incompatible avec le Christianisme, en particulier. Nous ne croyons pas, nous chrétiens, que Dieu soit parsemé dans sa création, comme s'il était présent aussi bien dans une crotte de chien que dans un être humain ou une étoile. Il y a une distance de nature entre Dieu et sa création. Le Créateur n'est pas saupoudré dans la création. La création n'est pas Dieu. Nous ne croyons pas non plus que la matière, ou tout ce qui est matériel, soit mauvais en soi, car ça vient de Dieu. Tout ce que Dieu a créé, il l'a trouvé bon. Il n'est pas question de trouver mauvais quelque chose que Dieu lui-même trouve bon. Il n'y a donc aucune raison de mépriser la sexualité, ou n'importe laquelle de nos fonctions dites "animales", d'ailleurs. Ni aucune forme de nourriture, par exemple. Nous ne croyons pas non plus, nous, chrétiens, que Dieu puisse être confondu avec la nature, ou que la nature soit Dieu. Qu'il faille la respecter, parce qu'il nous a donné l'ordre de cultiver le jardin de la terre, c'est une chose. Mais que l'on confonde la nature avec Dieu au point de penser qu'on commet un péché (donc une offense envers Dieu) si on jette un papier dans l'herbe, il n'en a jamais été question. Encore une fois, Dieu n'est pas en tout et inversement : s'efforcer d'agir de façon raisonnable et constructive, c'est une chose, mais ça ne doit pas être confondu avec un devoir moral et religieux. Bref, avoir conscience de l'existence de la gnose permet de voir les dérives qu'elle cherche à imposer dans tous les domaines de la raison humaine. Il faut être prévenu contre elle : c'est un poison pour l'esprit, et ne nous y trompons pas, c'est une ennemie mortelle du christianisme (et au-delà du christianisme, de l'humanité toute entière), même si elle cherche parfois à se faire passer pour lui ou pour une version plus pure ou plus parfaite du christianisme. Je pense que si l'on connaît bien le livre de la Genèse en particulier, et qu'on en tient compte, alors on a déjà une bonne protection intellectuelle contre la folie gnostique. Soyons attentifs cependant : elle se cache partout, toujours avec de "bonnes" intentions. Elle circule librement, dans tous les domaines de la pensée, elle cherche même à infecter les racines de notre religion, mais en réalité elle ne veut pas du tout notre bien. Encore une fois, l'image du lierre sur l'arbre nous on donne une bonne illustration : c'est joli, on a l'impression que ça en fait partie, voire que ça ajoute un petit quelque chose de charmant, mais en réalité c'est un parasite qui l'étouffe, et qui va finir par le tuer si on le laisse se développer librement.

jeudi 14 décembre 2023

Si on devait réduire la sainteté à la morale sexuelle, 

alors des figures de la foi aussi importantes qu'Abraham, Moïse, le roi David ou le roi Salomon

auraient beaucoup de souci à se faire. 

Or, il ne fait aucun doute que ces hommes sont parvenus à la sainteté. 

Il faut donc bien en conclure que la volonté de Dieu n'est pas réduite à la stricte observance 

d'une pureté angélique qu'ils n'ont de toute évidence jamais vécu.

mercredi 13 décembre 2023

C'est curieux, quand on a un accident, cette impression d'être subitement hors-jeu, 

alors que tout le monde continue sa vie normalement, 

comme si on était sorti du fleuve du temps et qu'on se retrouve sur la rive à le regarder couler. 

Je pense que quand on meurt, ça doit être un peu la même impression, 

d'autant que là, pour le coup, 

on sort littéralement du temps et de l'espace tel que nous les connaissons. 

jeudi 7 décembre 2023

L'attente du messie, ce n'est pas juste l'attente de la paix et de l'amour, 

mais aussi du juste juge qui vient pour sauver les innocents et condamner les pécheurs. 

Alors certes, "Dieu ne veut pas la mort du pécheur, mais qu'il se convertisse et qu'il vive". 

Mais s'il ne se convertit pas, il mourra à cause de son péché, et ça, on l'oublie trop souvent.

mercredi 6 décembre 2023

Être sincère et avoir raison sont deux choses différentes. 

Le fait de dire ce que l'on croit être vrai n'élimine pas le risque d'être mal informé. 

mardi 5 décembre 2023

Chercher à avoir raison, c'est assez facile. 

Il suffit de parler fort, de couper la parole à son interlocuteur, de l'abrutir de mots, 

d'imposer sa façon de penser en se cachant derrière son autorité, etc etc... 

Chercher la vérité est bien plus délicat. 

Ça se fait dans le silence, la méditation et la prière, à l'écoute de Dieu 

et de toute parole de sagesse sortant de la bouche de qui que ce soit, 

avec une attitude d'humilité, de curiosité et de remise en cause de ce que l'on croit savoir. 

Croire que l'on a toujours raison ne mène à rien d'autre qu'un égo démesuré. 

Chercher la vérité mène à trouver le sens véritable de tout ce qui existe, 

et notre place dans l'univers et dans le plan de Dieu. 

lundi 4 décembre 2023

Il est bon de ne jamais oublier, quand on est prêtre, 

ce qu'on admirait chez celui ou ceux qui nous ont donné envie de le devenir, 

si on veut pouvoir à notre tour transmettre l'amour du Christ à la prochaine génération. 

dimanche 3 décembre 2023

Tiens, j'ai remarqué par hasard que quand on sait dire non quand c'est nécessaire, 

on acquiert vite la réputation de celui qui dit toujours non à tout. 

Il faut faire attention à ne pas devenir cette caricature.

samedi 2 décembre 2023

Je ne pense pas que ça serve à grand chose de forcer les gens à faire un marathon catéchétique

quand ils veulent faire baptiser des enfants déjà un peu grands. 

Qu'ils aient une formation, oui, bien sûr, les baptiser sans savoir ce qu'ils font n'aurait aucun sens.

Mais les former pendant le temps d'un demi séminaire sacerdotal, vraiment, ça me semble abusif. 

Ça fait déjà des années que l'Esprit Saint leur manque. 

Or dans le baptême, le plus important, c'est le sacrement qui fait de nous des enfants de Dieu, 

pas sa préparation intellectuelle.

vendredi 1 décembre 2023

Sur terre il est facile de rencontrer Jésus :  

il est là présent dans tous les tabernacles éclairés par une petite lumière rouge. 

On devrait en profiter.

Si, ce qu'à Dieu ne plaise, on devait se retrouver en enfer un jour, 

nous aurions toute l'éternité pour regretter de ne pas avoir été le voir

alors que nous pouvions si facilement faire une chose désormais interdite à jamais.