Tout ce qu'on a pu
dire à d'autres sur la maladie ou la souffrance,
en évoquant l'esprit
de pénitence, la passion du Christ ou toutes autres choses
qu'on pensait alors
admirables, encourageantes et bienveillantes,
semble
particulièrement vain, arrogant et prétentieux,
quand on y est
confronté soi-même.