À Dieu ce qui est à Dieu, à César ce qui est à César.
Jésus ne s'est jamais mêlé de politique, et il y avait pourtant beaucoup à dire à son époque.
Je ne comprends pas bien pourquoi de plus en plus d'évêques, un peu partout dans le monde,
pensent qu'il est de leur devoir de le faire.