Quand arrivent des temps d'épreuve et de souffrance,
il me vient toujours à l'esprit la réflexion du bon larron :
"pour nous, c'est juste, après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons,
mais lui (Jésus), il n'a rien fait de mal".
Et ça m'aide à supporter la douleur et à l'offrir en réparation de mes péchés,
et s'il y a plus de douleurs que de péchés personnels, à l'offrir pour les péchés du monde.
Le mal qui nous arrive sur terre est dû à tous nos manques d'amour.
Il n'y a pas besoin de comprendre toute la complexité d'un méchanisme
pour constater qu'il fonctionne,
et le refus d'aimer se paye, tôt ou tard, en souffrances, même quand nous n'y sommes pour rien
et que ce n'est pas nous qui l'avons commis.