Pendant les premiers
siècles du christianisme,
on pouvait se confesser seulement
une fois dans sa vie.
Il fallait ensuite faire
une pénitence qui pouvait durer des années,
pendant lesquelles on était
excommunié, au vu et au su de tous,
avant d'être enfin publiquement
absout puis réintégré, le jeudi saint, dans l'Eglise.
Alors quand j'entends,
aujourd'hui, que "se confesser, c'est dur !",
franchement, ça me fait
bien rigoler.