Je comprends la compassion de Jésus devant les "brebis sans pasteur".
J'ai vu des paroisses plus ou moins laissées à elles-mêmes,
où le feu couve encore sous la cendre,
et où il suffirait qu'un prêtre s'investisse pour qu'elles produisent à nouveau des fruits,
et c'est vrai que ça fait de la peine de laisser en friche de la bonne terre...