Il faut toujours considérer la possibilité, quand quelqu'un dit du mal de nous,
que ce n'est pas nécessairement une injustice ou une méchanceté venue de son mauvais fond,
mais qu'il est possible qu'on l'ait mérité par nos paroles ou par nos actes,
même si on a agit ou parlé sans mauvaise intention ou sans se rendre compte qu'on faisait mal.