À l'époque où on avait
des prêtres en pagaille,
mourir d'épuisement le
sourire aux lèvres et le travail accompli
pouvait être un idéal sacerdotal
: il y aurait bien quelqu'un pour prendre la suite.
Aujourd'hui, cet idéal
ressemble plutôt à un suicide pour nos paroisses,
parce que quand un
prêtre disparaît, il n'est pas toujours remplacé,
et c'est beaucoup de
monde qui est alors laissé à l'abandon.