Dieu permet la conversion à qui est prêt à changer de vie,
à abandonner sa façon de faire mauvaise pour agir selon le bien :
il ne retire pas la possibilité du salut à qui fait l'effort de tourner le dos au mal et au péché.
On ne peut pas en dire autant pour les êtres humains entre eux.
Quand quelqu'un a mal agit, on ne lui laisse pas tellement de place pour s'améliorer :
tout ce qu'on veut, c'est qu'il soit puni et qu'il disparaisse de la vie publique,
et le plus définitivement possible sera le mieux, pense-t-on.
C'est là qu'on voit que les pensées de Dieu ne sont pas nos pensées.