Il est important, surtout lorsque l'on est prêtre,
de ne pas confondre nos préférences personnelles
avec des vérités théologiques intangibles.
Que l'on ait des goûts personnels, c'est bien légitime.
Mais il faut avoir le bon sens de les reconnaître comme tels,
et ne pas chercher à les justifier en se cachant derrière ce qui nous arrange
dans l'histoire, dans certaines traditions ou écrits de l'Église soigneusement sélectionnés
en dehors de tout contexte qui pourrait en rééquilibrer le sens authentique.