On s'est rendu compte pendant la pandémie qu'avoir à manger ne suffit pas.
L'absolu nécessaire pour vivre ne permet, en réalité, que de survivre.
La vie a aussi besoin de biens intangibles, comme la liberté de circuler ou l'accès à la culture,
mais encore d'être productrice et utile, voire de posséder du superflu,
pour commencer à devenir satisfaisante.