Saint Paul, dans la lettre aux Romains, estime qu’il n’y a pas de commune mesure
entre les souffrances du temps présent et la gloire qui va être révélée pour nous.
Il ne dit pas que les souffrances du temps présent ne sont rien, lui qui a tant souffert.
Il dit qu'elles sont sans commune mesure avec la gloire du Ciel.
Comme le Paradis doit être invraisemblable d'amour, de beauté et de perfection
pour que tout ce que l'on subit ici-bas soit comme des balayures comparé à ce qu'on y vivra !