Nous vivons à une époque qui se soucie moins de la conversion du pécheur
que de sa punition, voire de sa destruction totale.
Je ne dis pas qu'il faut qu'il soit absout sans conditions,
bien entendu il n'y a pas de conversion sans réparation ni sans justice.
Je ne dis pas qu'il faut qu'il soit absout sans conditions,
bien entendu il n'y a pas de conversion sans réparation ni sans justice.
Mais cette intransigeance dit quelque chose de notre monde.
Si personne n'avait rien à se reprocher,
Si personne n'avait rien à se reprocher,
on n'aurait pas besoin de boucs émissaires pour exorciser nos propres fautes.