Quand je suis tenté de me plaindre des difficultés de la vie paroissiale,
je me dis que je ne vis pas dans une paroisse dans un pays persécuté,
où les chrétiens sont massacrés et risquent leur vie chaque fois qu'ils vont à l'église.
Il faut voir les choses en face : les petites contrariétés de nos paroisses
sont sans commune mesure avec des questions de vie ou de mort.