J'ai remarqué un truc : les épreuves et la maladie, ça assouplit le caractère.
Je ne dis pas qu'il faille rechercher ni l'un ni l'autre, ce qui serait du masochisme.
Juste que quand ça nous tombe dessus,
ça nous aide à relativiser ce qui est important et ce qui ne l'est pas.
Et si on était obnubilé par des agacements et des énervements sur des choses de peu d'importance,
on rééquilibre un peu nos motifs de contrariétés,
et on n'a pas d'autre choix que d'apprendre la patience pour les supporter.