Quand j'étais
séminariste, notre évêque insistait toujours sur un point :
que nous ne rêvions
pas d'un "âge d'or" de l'Eglise,
où tout aurait marché
comme sur des roulettes,
avec tout le monde
vivant parfaitement l'Evangile.
Ça n'a jamais existé, martelait-il
sans cesse.
Je n'ai jamais oublié
cette leçon.
Ça évite de perdre son
temps à vivre dans la nostalgie d'un passé fantasmé.
On se met au boulot et
c'est tout.