La théologie catholique est claire : bénir au nom de Dieu une situation de péché
sans la moindre recherche d'amendement ou de conversion,
c'est un acte à la fois sacrilège et blasphématoire.
Quand Jésus pardonne à la femme adultère, il lui dit : "va, et désormais ne pèche plus".
Ce n'est pas la situation peccamineuse qu'il bénit, mais la personne qui cherche à en sortir.
Reste à voir maintenant qui cherchera à obéir à Dieu,
et qui cherchera à plaire aux hommes.