La mère de Camille St. Saëns lui aurait dit quand il était enfant :
"si vous écrivez pour qu'on vous applaudisse de votre vivant, vous n'écrirez jamais rien de valable".
Ô conseil avisé !
Combien il faudrait que nous, prêtres, le prenions à coeur, tant pour prêcher que pour écrire !