En discutant avec un ami prêtre, on se souvenait de l'époque où on nous faisait chanter
"je crois en Dieu qui chante, et qui fait chanter la vie" à la place du Credo, pendant la messe.
Que la foi ait pu survivre à de telles aberrations est un miracle,
même si l'Église n'en est pas sortie indemne de cette abêtissement du sacré.