J'ai toujours du mal à croire qu'un prêtre puisse avoir des ambitions mondaines,
quand bien même ce ne serait que dans le petit monde que l'on appelle l'Église,
et ne pas se contenter d'être un disciple du Christ qui a mis sa vie dans ses pas,
mais vouloir des titres, des avantages, des privilèges, des récompenses ou des premières places.
Quand on sait comment Jésus traitait les professionnels de la religion
qui ne voyaient là qu'un moyen comme un autre d'enrichissement personnel et de vaine gloire,
ça ne donne pas envie de faire comme eux : ce sont les seuls qui méritent sa colère, et franchement,
avoir à subir la colère de l'Amour incarné, non merci, c'est la chose la plus terrifiante au monde !!!
Vive la dernière place ! Et si c'est encore trop ambitieux, autant la laisser à quelqu'un d'autre.