Je comprends qu'on puisse être tenté de ne faire appel à Dieu que quand on est dans la mouise,
parce que quand tout va bien, quel besoin aurait-on d'aller à l'église ou de prier, n'est-ce pas ?
Mais si on traite nos amis de la même façon,
ne les appelant que quand on a quelque chose à leur demander,
il ne faut pas s'étonner qu'ils soient peu nombreux
et que nos appels ne suscitent pas chez eux un enthousiasme débordant
mais plutôt, en guise d'introduction, des remarques du genre : "tiens, de quoi t'as besoin aujourd'hui ?"
 
