Dire oui à Dieu, ce n'est pas renoncer à son libre arbitre,
car il faut bien s'en servir pour que le oui soit oui,
mais c'est renoncer à s'en servir pour faire le mal.
Chaque choix que l'on fait implique toujours, inévitablement, un renoncement.
Ce n'est pas pour ça qu'on est moins libre, au contraire :
ça libère des tentations qui cherchent à nous distraire de faire le bien.