Ce qui devrait toujours nous guider, dans la défense du christianisme,
ce ne sont ni des considérations politiques, ni l'envie d'avoir le dernier mot,
ni l'orgueil, ni d'ailleurs un quelconque sens de supériorité.
Non, ce qui devrait nous guider, c'est l'amour de Dieu et du prochain.
De Dieu, parce que nous défendons l'Église qu'il a voulu fonder et la foi qui lui correspond.
Du prochain, parce que le christianisme ne nous est pas réservé.
C'est pour sauver toute l'humanité que Dieu s'est incarné, qu'il est mort et ressuscité,
et le moins que l'on puisse faire, c'est de le faire savoir à ceux qui l'ignorent encore.