L'examen d'entrée au paradis, ce n'est pas Dieu qui nous demandera :
"est-ce que tu veux entrer au paradis ?", mais "est-ce que tu m'aimes ?".
Et on ne pourra pas mentir ni tricher, on sera bien obligés de dire le fond de notre coeur.
Si donc on répond "non", parce qu'on ne s'est jamais préoccupé de Dieu de toute notre vie,
Dieu tiendra compte de notre réponse, parce que ce n'est pas un tyran, il ne nous force à rien.
Lui ne condamne personne, c'est nous qui nous condamnons quand nous refusons de l'aimer.
Sa miséricorde, c'est d'avoir envoyé son fils pour nous guider vers lui.
Si nous n'en avons rien à faire ici-bas, il ne faudra pas faire appel à elle quand il sera trop tard,
et que l'heure du jugement, qui vient après la miséricorde, sera venue.