Je me méfie comme de la peste de la gloriole.
Ce n'est par parce qu'on est satisfait de soi
qu'on est satisfaisant aux yeux de Dieu.
Or, si on se croit parfait, ou au moins tout à fait acceptable tel quel,
quelle raison aurions-nous de nous efforcer de devenir meilleur,
c'est à dire plus aimable et plus aimant ?